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Allaitement

Aventures et mésaventures impliquant un bébé, des seins et/ou un biberon!

Quand mon lait est tiré, il faut le boire… ou le chauffer!

7 septembre 2005 |

D’après plusieurs sources, notamment Mieux vivre avec notre enfant de la naissance à deux ans remis aux nouveaux parents à l’hôpital, la durée de conservation moyenne du lait maternel est être de 3 à 5 jours au frigo et de 3 à 4 mois au congélateur. Une fois ma production de lait bien établie, j’ai donc commencé à me traire — pardon, à tirer mon lait — et à congeler le précieux liquide, que nous n’avons commencé à donner que beaucoup plus tard.

Les deux ou trois premiers biberons sont passés comme une lettre à la poste, après une courte période d’adaptation et d’apprivoisement mutuel entre mon doux et la petite. Il faut dire que, pour m’assurer de la qualité et de la température du lait, nous lui avons donné des biberons fraîchement tirés. Pas de confusion sein/tétine, tout allait pour le mieux dans le meilleur des monde!

Mais un beau soir, quand mon doux a voulu lui donner un biberon décongelé, une véritable lutte s’est engagée. Peut-être n’était-il pas suffisamment tiède à son goût? Re-chauffe, re-tente de donner le biberon, re-lutte… «On dirait vraiment qu’elle ne le trouve pas bon», de conclure mon doux, désemparé devant les hurlements de notre adorée. Et moi de décider de le goûter…
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Prête, pas prête… j’allaite!

26 avril 2005 |

Une semaine déjà! Le retour à la maison s’est bien déroulé, et toute la petite famille s’habitue peu à peu à cette nouvelle vie… quoi que «s’habituer» soit un terme difficilement appliquable à un quotidien qui s’établit en fonction des demandes aléatoires d’une petite bouche affamée!

Pendant plusieurs jours, j’ai repoussé le moment de sortir, histoire de réapprendre d’abord à marcher normalement, mais surtout, de laisser le temps à Fanny et moi de nous apprivoiser en privé avant de nous balader publiquement. Mon doux et mes parents se sont donc chargés d’aller chasser les produits dont j’avais besoin, et se proposaient de continuer ainsi encore quelques temps.

Je me serais bien laissée gâter ainsi Ad vitam aeternam, repoussant le moment fatidique de la première sortie, si ce n’était de la nécessité de me trouver un nouveau soutien-gorge d’allaitement. Décidément, j’allais devoir être présente pour cet achat…
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