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Banlieusardises

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recette - 6/16 - Banlieusardises

Mérou pas fou en quelques minutes

18 septembre 2008 |

On a tous des tics culinaires, des mets vers lesquels on se rabat les soirs où on a l’inventivité à «off», qu’on manque de temps… ou de sommeil. On peut alors préparer le tout sur le mode automatique, le regard dans le vague…

Pour les uns, c’est le bon vieux spaghat, pour les autres, l’omelette, le sandwich… chez nous, il y a les incontournables sautés asiatiques. Et puis le poisson tartiné à «quelque chose» et cuit rapidement au four. Je vous en avais parlé récemment en publiant une recette de pangasius au satay, et aussi en 2002, avec un filet de colin-mayo.

merou_four.jpg

Voici une «méroutisation» la chose. Toujours aussi rapide. Et toujours aussi appréciée, autant par la maman fatiguée que sa famille affamée.
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Tomates vertes, basilic et bocconcini

8 septembre 2008 |

Tomates, basilic et bocconcini: voilà un trio classique dont on ne se lasse jamais chez nous. Je vous avais déjà suggéré de présenter de petites bouchées de tomates miniatures, de basilic pourpre et de mini bocconcini sur des cure-dents (comme … Suite

Tomate opalka farcie

4 septembre 2008 |

Votre regard vous dit poivron, mais le titre parle bien d’une tomate… C’est qu’elle est spéciale, la tomate opalka: cette variété des Andes a une forme allongée qui s’apparente effectivement à celle d’un poivron ou d’un piment. Mais à voir le plant et à goûter la chose, il n’y a aucun doute, je vous assure: on parle d’une tomate.

tomate_opalka_farcie.jpg

Je la trouve parfaite pour les conserves (on case exactement une opalka et demie dans les pots Mason de 500 ml), mais aussi idéale pour farcir: sa chair compacte s’enlève aisément à la cuillère, laissant une belle cavité qu’on n’a plus qu’à remplir…
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Tapenade aux olives noires

1 septembre 2008 |

J’ai une petite recette de tapenade à partager… mais je sais bien que c’est de l’arrière-plan dont vous allez vouloir me parler:

tapenade_olives_noires.jpg
Hé hé! Vous n’avez pas la berlue: ce sont bien des tomates du potager, enfin prêtes à manger (malgré la mésaventure de l’effeuillage). En fait, depuis quelques jours, j’en cueille une bonne quantité à chaque virée au potager, à un point tel que j’ai pu commencer à gâter mon monde avec le fruit de mes efforts. Avec tout ce que je donne, je doute qu’il m’en restera suffisamment pour faire des conserves. Mais elles sont tellement bonnes quand elles sont fraîches que j’aime autant les partager à leur meilleur, et vivre de celles du supermarché cet hiver…

Parlant de conserves: vous allez me dire que c’est bien triste de faire ma tapenade avec des olives en boîte… mais c’est tout ce que j’avais sous la main pour concocter ma recette, et avec tous les bons ingrédients que j’y ai mis, le résultat était quand même nettement mieux que les tapenades ultra-vinaigrées qu’on achète toutes préparées!
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Poitrines de poulet farcies au jambon et au fromage gruyère

17 août 2008 |

Il y a un classique auquel je reviens souvent: les poitrines de poulet en sauce au poivre. Tantôt il est vert, tantôt il est rose (on parle du poivre, hein). Au-delà de cela, peu de variantes.

Ah, si, sauf celle-ci que je viens de retrouver dans mes archives et que j’avais oubliée: les médaillons de poulet coiffés de mozza et de capicollo. Eh bien imaginez à peu près la même recette, mais avec le jambon et le fromage à l’intérieur du poulet plutôt que dessus. Ça donne ceci:

poitrines_poulet_farcies_jambon.jpg

Résolument de type «sauce», j’y ai versé mon classique aux baies roses. Mais le jambon et le fromage étant déjà très goûteux, on pourrait tout aussi bien s’en passer.
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Sauté de chorizo et de pâtissons aux tomates et oignons-pas-verts

11 août 2008 |

J’adore le goût frais de l’oignon vert. Jeté négligemment sur une soupe ou une salade, au moment où elle s’y attend le moins (!?!), il la relève, il la révèle sous un jour nouveau. Mais j’ai un gros problème avec le nom.

Voyez-vous, au Québec, on a longtemps appelé ça de l’échalote. En fait, je ne devrais pas parler au passé: beaucoup de gens l’appellent encore ainsi. Les chanceux. Eux n’ont pas le problème que j’ai pour lister les ingrédients de ma recette aujourd’hui. Car voyez-vous, dans ma recette, il y a de l’oignon vert… rouge.

Vous avez bien lu. De l’oignon vert, pas vert. Si je disais échalote, on se comprendrait: de l’échalote rouge. À moins que vous ne pensiez alors que je veux parler de ce qui s’appelle vraiment de l’échalote (qu’on dira tantôt française, tantôt sèche), qui tire sur le rouge…

chorizo_patissons.jpg

Oh well. De toute façon, l’oignon vert rouge est si rare que vous mettrez probablement de l’oignon vert. N’en faisons pas tout un plat et allons-y pour la recette…
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