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Banlieusardises

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Mes semis d’automne

Martine Gingras

Bon, bon, bon. D’où c’est qu’elle sort, la banlieusarde, à faire des semis à la fin octobre, alors qu’on vient tout juste de terminer les récoltes au potager? Je vous rassure: je ne suis pas déjà en train de planifier la saison 2004…

semis_hiver.jpgC’est simplement que je ne me fais pas à l’idée de vivre les prochains mois en assaisonnant principalement mes plats de fines herbes séchées ou encore de payer des prix de fous pour des herbes fraîches au supermarché! Et comme j’ai tout mon kit de semis au sous-sol qui ne sait trop que faire en attendant les premiers semis de février, j’ai décidé de faire quelques expériences hivernales. J’ai donc rallumé le néon, rebranché le tapis chauffant et reparti quelques semis d’aneth, de coriandre, de basilic… et même quelques laitues! Avec les quelques graines semées, je ne m’attends pas à un pesto pour Noël, mais quand même à quelques feuilles pour agrémenter les plats au fil des mois!

Commentaires

  1. Marie-Pascale

    AH! quelle bonne idée Martine! C’est vrai que l’utilisation de feuilles fraîches est un plus pour les saveurs d’un plat. Et de le faire à l’année longue peut certainement rendre l’existence un peu plus douce! ;-)

    J’en suis à mon premier été d’herbes fraîches, ça n’a pas été un succès pour le basilic…Sur 4 plants, un seul rachitique a survécu, et mon choix d’herbes dans ma « boîte à fleurs » n’a pas bien été évalué… Bref, j’ai eu trop de ciboulette et persil, trop d’origan et si peu de basilic…

    Je me promets de planter sauge et coriandre l’an prochain et de trouver des plants de basilic assez matures… En attendant, n’ayant ni place ni période d’ensoleillement suffisantes dans mon petit 4 et demi montréalais, je vais me rabattre sur les herbes achetées un prix de fou… grrrr…. que j’ai hâte d’avoir mon bout de terrain pour ça!

  2. Hum, sont-ce là les symptômes d’une future banlieusarde en puisance? ;-)

  3. Marie-Pascale

    oh que oui!

    :-)))))

    Ayant vécu dans un village avec des champs vagues à couper le souffle derrière la maison, un immense potager et une maison familiale fort fleurie, je ne peux que déprimer en regardant la cour bétonnée ( deux ou trois brins d’herbe tentent d’y pousser…sans trop d’espoir) derrière le bloc où j’habite…

    Je suis en manque de verdure et d’odeurs de gazon coupé et de rosées du matin… et il me faudra prendre mon mal en patience u au moins 3 ans encore!

    Au moins je peux lire tes expériences de banlieusarde et m’en régaler, chère Martine! ;-)