Monthly Archives: février 2009
Bienvenue sur les Banlieusardises… nouvelles et améliorées!
26 février 2009 | Martine GingrasAprès en avoir rêvé pendant des années, ça y est: la version 2.0 des Banlieusardises voit enfin le jour! Je reviendrai éventuellement sur les défis techniques que j’ai eu à relever (si ça peut être utile à d’autres!) Pour l’instant, … Suite
Mille-feuille de veau et de patate douce au foie gras
26 février 2009 | Martine GingrasImaginez un peu: une présentation étagée de fines escalopes de veau et de patates douces, chapeautée d’un morceau de foie gras. C’est-y pas le rêve, ça?
Eh bien non, en fait. C’était tout juste bien. Sans être ratée, la recette … Suite
On rénove les Banlieusardises…
22 février 2009 | Martine GingrasJe vous rassure: les joyeux banlieusards ne se sont pas lancés dans un nouveau projet de réno du bungalow… cette fois, c’est sur les Banlieusardises (ze site) qu’il va y avoir de gros changements!
Et quand je vous dis gros… … Suite
L’armoire à pharmacie des parents: tout pour soigner petits et gros bobos
18 février 2009 | Martine GingrasJ’ai envie de jaser pharmacie. Allez savoir ce qui me prend… C’est peut-être la grosse grippe qui courbature ma grande et la rend fiévreuse qui m’inspire? Ou alors son début d’otite d’il y a deux semaines? Ou la g****o qui ne nous a pas épargnés en janvier? Ou encore les petits rhumes, si nombreux qu’on a arrêté de les compter?
Certains me demandaient pourquoi j’étais moins loquace et publiais peu de recettes. Vous connaissez maintenant la vérité: j’étais occupée à faire du lavage et préparer des litres et des litres de bouillon maison. Bon.
Ne sachant pas d’où viendra la prochaine attaque, ici, on ne prend plus de risques: la pharmacie est pleine de trucs utiles pour passer à travers les petits et les grands maux. Voici ma liste: n’hésitez pas à la compléter en partageant vos «musts» dans les commentaires :-)
1. Thermomètre à lecture rapide: Cinq secondes d’immobilité, c’est pas mal le maximum qu’on peut obtenir d’un enfant malade… et encore moins que ça s’il n’est pas vraiment malade! Si vous avez encore un modèle qui met deux minutes à vous donner la température (c’était mon cas quand ma grande est née), il est grand temps de le changer. J’aime bien le Vicks Flex: la température s’affiche dans un cercle lumineux dont la couleur varie — vert, jaune, rouge — selon le degré de fièvre. Inutile? Que non: découvrir la couleur du cercle motive grandement l’enfant à accepter qu’on prenne ENCORE sa température. Pour éviter que les petits malades se contaminent les uns les autres, il faut aussi prévoir des couvre-sonde, du lubrifiant si vous prévoyez faire une utilisation rectale (avouez que la dernière fois que vous avez magasiné ça, vous aviez autre chose en tête!) et de l’alcool à friction 70% (même avec l’utilisation des couvre-sonde, j’sais pas pour vous, mais moi, je préfère vraiment désinfecter…)
2. Acétaminophène en solution orale: Un must, en plusieurs saveurs pour renouveler le plaisir…
3. Onguent antibiotique: Pour soulager et traiter les coupures et éraflures. Genre Polysporin pour enfants. Il y a quelques mois, mon doux a lu une recommandation à propos d’un autre produit que «j’aurais donc dû découper». Ne se souvient vraiment plus de ce que c’était. Il aurait donc dû, hein?
4. Pansements: Inutile de vérifier les propriétés révolutionnaires des uns et des autres: l’efficacité varie en fonction du héros du moment… ici, Dora a fait place à Hello Kitty qui doit maintenant céder la sienne aux princesses…
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Salade de carotte et d’orange sanguine aux baies roses
15 février 2009 | Martine GingrasImaginez des parents, amateurs de bon manger, qui ne sont pas sortis en tête-à-tête depuis au moins deux ans. Possiblement plus. Imaginez que ce soit la Saint-Valentin. Et supposez que des personnes de bonnes volonté se proposent de garder leurs enfants ce soir-là. Mieux encore: de les garder à dormir.
Avec votre imagination décidément très fertile, vous vous dites, avec raison, que ces parents vont se planifier une belle sortie au resto pour célébrer dignement la fête de l’aaaaaaamour. Et de fait, ils vont la planifier. Passer la semaine à discuter des avantages respectifs de plusieurs bonnes tables: la proximité de celle-ci, la réputation de celle-là…
Discuter, oui. Des parents qui ne sont pas sortis depuis si longtemps n’ont tout simplement pas en tête qu’il faille réserver une table. Ils ont l’inconscience d’attendre au vendredi matin, la veille de la Saint-Valentin, pour appeler. Évidemment, c’est COMPLET. Partout!
Qu’est-ce qu’ils font, ces parents? Pas question de remettre la fête de l’aaaaamour à plus tard après en avoir rêvé toute la semaine! Les parents ont mis la moitié du budget resto sur un souper maison délirant et une excellente bouteille. De source sure, le menu allait comme suit…
Foie gras poêlé
Salade de carotte et d’orange sanguine aux baies roses
Cuisses de lapin confites
Pain, fromages du Québec et noix d’acajou pralinées à l’érable
Gâteau au caramel à la fleur de sel
Un repas de luxe, mais tout simple et rapide à préparer. Le foie gras était simplement relevé à la fleur de sel, les cuisses de lapin déjà confites et le gâteau est une nouveauté du Petit Montmartre, le repaire des gourmands à Rosemère. De manière assez farfelue, c’est la préparation de la salade de carotte qui a exigé le plus de soins!

Au moment d’entamer le dessert, nous euh je veux dire… ces parents-là ont réalisé que trois heures s’étaient déjà écoulées depuis l’entrée! Et constaté qu’il y avait finalement de multiples avantages à fêter à la maison… ;-)
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Semis hâtifs de piments, de poivrons et d’aubergines
8 février 2009 | Martine GingrasQuand faites-vous vos semis de piments, poivrons et d’aubergines? Pendant longtemps, j’ai suivi les indications des catalogues et des guides de semis, qui recommandent 6 à 8 semaines avant les derniers gels. Chez moi, ça mène à la mi-mars, comme pour les tomates.
Année après année, je me retrouvais avec des plants rabougris, qui n’avaient pas assez de notre courte saison estivale pour se développer, et encore moins pour produire des fruits. Si j’en récoltais un à la fin septembre, c’était beau! Et encore, c’est sans compter sur l’appétit de la marmotte, qui avait souvent tôt fait de me le chipper.

Je mettais mes insuccès sur le compte du vent, d’un manque d’eau, de semences moins fraîches… J’en étais à me dire que ces cultures-là n’étaient pas pour moi: autant mettre mes énergies sur les tomates, qui ne m’ont jamais fait défaut.
Tout ça jusqu’à ce que je me mette à jaser avec d’autres copains jardiniers. Fin mars, les semis de piments, de poivrons et d’aubergines? Quelle idée!
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