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Banlieusardises

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lait de coco - Banlieusardises

Potage aux épinards et lait de coco

29 mai 2010 |

Suffit parfois qu’un ingrédient nous tombe dans les pattes pour que l’imagination embarque… C’est exactement ce qui est arrivé quand je cherchais comment apprêter mes épinards (que je voulais servir en accompagnement d’un filet d’omble chevalier au cari): une boîte … Suite

Sauté de porc et légumes au lait de coco

19 avril 2010 |

Pas de doute: c’est le riz collant qui fut hier la vedette de la soirée*. Mais le plat principal n’était pas mal, non plus: un sauté de porc servi dans une sauce aux légumes et au lait de coco. Le … Suite

Curry de poulet aux tomates, patates sucrées et lait de coco

4 août 2009 |

Chouette, un curry! On remarquera plusieurs similitudes avec une autre recette que j’ai déjà publiée, mélangeant aussi la poudre de cari jaune, les tomates et le lait de coco. Mais alors que l’autre était une version végétarienne (aux légumineuses), celle-ci … Suite

Pancakes au lait de coco

12 novembre 2008 |

Drame chez les banlieusards ce matin: plus de pain pour le déjeuner.

Premier mouvement: faire des galettes de sarrasin. Plus de sarrasin non plus.

Des pancakes, alors? Pas assez de lait. Plus beaucoup de farine tout-usage. Mais un reste de lait de coco dans le fin fond du frigo. Et de la farine de blé entier.

Devinez ce que j’ai cuisiné?

pancakes_lait_coco.jpg

Hep. Des pancakes aux deux farines et aux fonds de pinte de lait et de lait de coco.

C’était vraiment bon, bon, bon. Mais le goût du lait de coco était discret… Projet pour la semaine des quatre jeudis: un test 100% lait de coco. Bon, bon, bon, bon, bon?
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Filet de pangasius sur lit de pommes et légumes au lait de coco

12 novembre 2007 |

Des collègues de bureau, sans doute à la pause café. Ils discutent de toutes les merveilleuses manières d’apprêter le pangasius, notamment en carpaccio. Dans un coin, mal à l’aise, un collègue garde le silence jusqu’à ce qu’on l’interpelle directement: «Toi, Jean-Marc?» Manifestement, il ne sait pas ce que c’est, alors il déclare maladroitement qu’il le sert comme l’autre, en «paccio».

À tout coup, le pauvre diable de cette publicité des marchés IGA m’arrache un fou rire (vous pouvez la voir sur le site d’Infopresse). Car comme lui et sûrement bien d’autres téléspectateurs, je ne savais pas ce qu’était le pangasius, qui n’était pas commun dans nos poissonneries jusqu’à tout récemment. Pour ne pas me retrouver dans la même situation que Jean-Marc, je ne suis sans doute pas la seule à m’être précipitée sur mon ordi pour «googler» le pangasius et savoir ce que ça mangeait en hiver que c’te bête-là.

Et là, surprise: qui accueille les curieux tout en haut des résultats de recherche? Coup du hasard ou bon coup des stratèges Internet, c’est Metro, avec ses «conseils d’experts» sur le pangasius. Pourtant, il y a sur le site d’IGA une page de recettes pour cuisiner le pangasius, mais il aurait sans doute fallu l’étoffer et mieux la référencer pour éviter que les efforts de marketing et les investissements publicitaires envoient les téléspectateurs/internautes intrigués chez le concurrent! En date de publication, elle n’apparaît qu’à la huitième page de résultats de Google.ca

filet_pangasius_servi.jpg

Mais bon, peu m’importe qui capitalise sur la pub, j’ai trouvé réponse à ma question: le pangasius «se nourrit surtout de crustacés, de petits poissons et d’algues», en hiver comme aux autres saisons, j’imagine. J’ai aussi trouvé dans le détour plusieurs idées inspirantes pour le cuisiner. Notamment une recette de pangasius en papillote. Mais au moment de l’apprêter, je n’ai retenu ni la papillote, ni le cumin. Je sais, je suis bizarre. Par contre, j’ai conservé l’idée de faire cuire mon poisson sur un lit de légumes. C’est déjà beaucoup, pour une fille qui n’aime pas suivre les recettes ;-)
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Purée de chou-fleur et de rabiole au lait de coco

4 novembre 2006 |

J’avais envie de pétoncles depuis des semaines. Mais comme je retarde l’introduction des fruits de mer dans les menus de ma petite — elle présente une petite intolérance à certains poissons, et comme les fruits de mer sont particulièrement allergènes, mieux vaut attendre — ça nécessitait de cuisiner en double, un plat pour elle, et des pétoncles pour nous. Je n’aime pas cuisiner en double, doooonc je n’arrivais pas à caser les pétoncles dans un repas, CQFD.

Mais hier, de beaux mollusuques m’ont suppliée de les adopter, alors je n’ai pu résister. Et hop! des pétoncles pour les parents, et un vivaneau pour la petite. Les premiers (les pétoncles, pas les parents) ont été simplement saupoudrés de poudre de cari et cuits à l’unilatéral, le second saupoudré de cari aussi, et cuit à la poêle avec un peu de lait de coco.

petoncles_lit_puree_chou_fleur.jpg

Dès la première bouchée, j’étais aux anges: ils étaient savoureux! Comment avais-je pu attendre si longtemps pour en remanger? À la seconde, toutefois, une surprise: c’est la purée de chou-fleurs et de rabiole au lait de coco que j’avais servie en accompagnement qui volait le show, d’un avis quasi-unanime.
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