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Banlieusardises

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recette - 3/16 - Banlieusardises

Salsa verde vite faite

20 avril 2009 |

Voici une salsa verte faite à partir de tomatilles (ou tomatillos), des petites tomates vertes qui sont en fait des fruits de la famille des physalis (si, si, les cerises de terre!) Je compte bien en préparer avec des tomatilles … Suite

Jambon à la bière

6 avril 2009 |

Un vrai bon classique, à préparer en prévision du (ou pendant le) long week-end de Pâques: le jambon à la bière. On en trouve diverses variantes, la plupart misant sur une cuisson lente (parfois jusqu’à 9h), qui fait fondre le … Suite

Bulles de savon géantes

29 mars 2009 |

Dures, les mi-saisons pour les activités en famille autour de la maison. La température plus clémente nous incite à sortir les vêtements de printemps (enfin, une trêve de quelques mois dans la lutte contre le port de la salopette), mais … Suite

Petites tartes garnies de tomates

28 janvier 2009 |

Si je vous dis que je me suis laissée inspirer par une recette de Martin Picard, patron du resto Au pied de cochon, tirée du décadent livre du même nom, vous aurez tout de suite sa célébrissime poutine au foie gras en tête. Eh non. Ma mienne de poutine, je l’aime all-dressed. Mais le foie gras, les rares fois où je décide de m’en payer, j’aime autant le savourer dans sa plus simple expression, avec de la fleur de sel et un bout de pain. Cela dit, si l’idée vous allèche, allez faire un tour du côté de chez Tarzile, qui a déjà coiffé une poutine de foie gras et donne sa version de la recette!

Revenons au livre du chef Picard, que j’ai décidé de feuilleter hier alors que j’étais pourtant pressée de cuisiner. Il regorge de recettes plus décadentes les unes que les autres: tarte de boudin au foie gras, ragoût de boulettes aux pattes de cochon, sans compter les incontournables oreilles de crisse et les bines… pas exactement le genre de recettes qu’on peut cuisiner à la sauvette, hmmm? Et pourtant, entre les pages dégoulinantes de foie gras, une petite tarte délicate et simplissime m’a attirée.

pizza_sur_pate_tarte.jpg

Ça s’appelle une tarte, et c’est effectivement une pâte brisée qui sert de base, mais au lieu de la mettre dans un moule à tarte et la remplir, on la laisse à plat et on la garnit, à la manière d’une pizza.

Le sieur cochonnesque y met béchamel refroidie et moutarde avant d’y déposer fromage et tomates tranchées… mais faute de temps pour cuisiner la béchamel (et encore plus de la laisser refroidir), j’ai simplement tartiné ma pâte d’un reste de sauce pour pâtes du commerce (sshhhhh, une honte, je sais, mais la faim justifie les moyens…)
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Chevreuil bourguignon

16 janvier 2009 |

Un des grands avantages d’avoir des enfants, c’est que la famille élargie se fait désormais un devoir de cuisiner des plats en grande quantité pour en offrir et ainsi sauver un peu de temps aux parents (qui peuvent ainsi le réinvestir en temps de qualité avec leur progéniture, c’est-à-dire glisser, faire de la pâte à modeler, du coloriage et regarder BabyTV sur Illico).

Au moment d’écrire ces lignes, j’ai deux gros pots de «bines» de mon père au frigo, des poivrons farcis et des cretons au congélo… et en tête, le doux souvenir d’un repas cuisiné par mes beaux-parents et dégusté en leur compagnie ce week-end (si, si, vous avez bien lu: ils s’invitent à manger et apportent tout ce qu’il faut… avouez que, côté beaux-parents, on fait difficilement mieux). Au menu: chevreuil bourguignon.

chevreuil_bourguignon.jpg

Dixit ma belle-maman, «les ingrédients sont faciles à se procurer sauf le chevreuil qu’il faut aller chasser»… Non seulement ils cuisinent bien, mais beau-papa chasse. C’est-y pas merveilleux, ça?
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Raclette à l’heure du brunch

28 décembre 2008 |

On les aime, nos enfants. Mais surtout, on les aime charmants avec la visite. Et pour qu’ils soient adorables, ils doivent avant tout être REPOSÉS. Recevoir le midi empiète immanquablement sur l’heure de la sieste de l’après-midi… DANGER! Recevoir le soir oblige soit à repousser un peu trop l’heure du dodo… DANGER aussi! À moins qu’on fasse participer les invités au rituel du soir, ce qui peut être, j’en conviens, assez amusant…

On finit par préférer les formules «intermédiaires», mélangeant deux repas en un: il y a le classique brunch (contraction entre breakfast et lunch), qui permet à la visite d’arriver alors que les enfants sont joyeusement réveillés et de partir juste avant la sieste. Il y a maintenant aussi le slunch, un souper-lunch, néologisme dont m’a instruite ma copine des Peccadilles, qui est aussi le thème du dernier livre de la blogueuse Pascale Weeks, un petit goûter servi à l’heure du thé… soit juste après les siestes. On n’a toujours pas eu l’occasion de tester la formule, mais ça viendra certainement…

Pour le repas familial de Noël, cette année, on a organisé un brunch avec mes parents au lieu de les inviter à souper. Au menu, une raclette bien spéciale, adaptée à l’horaire: les fromages étaient moins corsés que pour une raclette traditionnelle, et au lieu de proposer des viandes à griller sur la plaque, on versait du mélange à crêpes de sarrasin et on faisait dorer du pain. Dans les barquettes, chacun composait selon son inspiration: pommes de terre, canard séché, rôti maison, fromage, fruits…

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Je me souvenais avoir vu l’idée d’un tel concept dans un feuillet publicitaire des épiceries IGA, l’an dernier… je ne sais plus trop ce qu’il y avait sur leur table, mais si ça peut vous inspirer, voici ce qu’il y avait sur la nôtre le 25 décembre!
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