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Banlieusardises

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cuisson lente - Banlieusardises

Rôti de contre-filet braisé aux tomates

6 janvier 2012 |

Il y a longtemps que je ne vous ai pas achalés avec mes bons petits plats en cocotte Römertopf, non? Je continue d’en cuisiner, bien sûr… mais les petites variantes que je fais à mes classiques ne méritent pas que … Suite

Côtes levées tendres, tendres, tendres

10 février 2010 |

Les vieux de la vieille parmi les lecteurs se souviendront peut-être d’un appel de désespoir lancé il y a quelques années concernant les côtes levées: aidez-moi à les attendrir, suppliais-je… Et les suggestions ont afflué. Je me promettais d’en essayer … Suite

Chevreuil bourguignon

16 janvier 2009 |

Un des grands avantages d’avoir des enfants, c’est que la famille élargie se fait désormais un devoir de cuisiner des plats en grande quantité pour en offrir et ainsi sauver un peu de temps aux parents (qui peuvent ainsi le réinvestir en temps de qualité avec leur progéniture, c’est-à-dire glisser, faire de la pâte à modeler, du coloriage et regarder BabyTV sur Illico).

Au moment d’écrire ces lignes, j’ai deux gros pots de «bines» de mon père au frigo, des poivrons farcis et des cretons au congélo… et en tête, le doux souvenir d’un repas cuisiné par mes beaux-parents et dégusté en leur compagnie ce week-end (si, si, vous avez bien lu: ils s’invitent à manger et apportent tout ce qu’il faut… avouez que, côté beaux-parents, on fait difficilement mieux). Au menu: chevreuil bourguignon.

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Dixit ma belle-maman, «les ingrédients sont faciles à se procurer sauf le chevreuil qu’il faut aller chasser»… Non seulement ils cuisinent bien, mais beau-papa chasse. C’est-y pas merveilleux, ça?
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Quinoa royal noir aux herbes salées

7 décembre 2008 |

Le quinoa: absent de nos menus depuis 2006 (époque où j’en ai cuisiné une version à la menthe et une autre en soupe-repas), il fait un retour marqué à notre table depuis quelques semaines. On en a racheté d’abord par nécessité: j’en avais cuisiné comme plat d’accompagnement pour recevoir une copine qui avait fait une croix sur le gluten… et cette soirée m’a rappelé que j’aimais bien le quinoa!

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Au moment d’en racheter, j’ai découvert sur les tablettes de l’épicerie une variété noire. Pas donnée (il me semble qu’elle coûtait environ 8$ les 500 grammes), mais le produit est bio, équitable et probablement aussi cueilli par des vierges unijambistes… ;-)

Sans blague, j’ai craqué malgré le prix, d’abord parce que j’aime bien essayer de nouveaux produits, et ensuite, parce que j’ai deux cocottes qui mangent à la couleur, ces temps-ci: noir, c’est bon. Elles sont fans de riz sauvage, et maintenant aussi de quinoa royal noir! Il a un peu plus de croquant que le quinoa régulier, ce qui ne m’a pas plu de prime abord… mais au fil des bouchées, j’ai fini par apprécier.

Le seul défaut du quinoa? En matière de dégâts, couscous et quinoa, même combat! Si vous avez des enfants en bas âge, gardez donc l’aspirateur à portée de main…
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Lapin à l’érable

17 juin 2008 |

Ce n’est pas mon interprétation la plus réussie du lapin. Je ne suis pas particulièrement fière de mes photos non plus (cette idée, aussi, de rédiger une recette après être allée faire un tour sur Le Carrefour!) Mais je ne peux pas ne pas vous en parler, parce que l’animal était un généreux cadeau d’une blogueuse, JulieJulie (mieux connue sous le nom de Julie-aux-cinq-enfants). Oh, bien sûr, celle qui me l’a offert parle plutôt d’un échange, mais je vous laisse juger: quand on part avec dix petits plants de tomates sous le bras, et qu’on revient avec un lapin et une douzaine d’œufs frais dans la glacière, est-ce qu’on peut encore dire que c’est un échange? Il ne me reste qu’à espérer que mes plants seront productifs, pour lui remettre un peu de tout ce qu’elle nous a donné!

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L’idée de manger du lapin a un peu surpris ma grande. Surtout quand on lui a dit que c’était un cadeau des amis qu’on avait vus ce dimanche. Elle avait vu de vrais lapins dans leurs clapiers, alors elle a immanquablement commencé à faire des liens…

Ma grande (avec un air de vous-ne-me-ferez-pas-marcher): Des lapins, ça ne se mange pas!
Maman banlieusarde (qui se demande si elle est prête à aborder cette question): Mais si, ça se mange! Toute la viande qu’on mange vient des animaux.
Ma grande (avec un air de dites-moi-que-ce-n’est-pas-vrai): Oui, mais pas les lapins, hein?
Maman banlieusarde (qui décide que la vérité crue peut attendre encore un peu): C’est vrai, pas les lapins (et plus bas) en peluche.

Ouf. Je n’ai pas menti. Juste reporté à plus tard une discussion sur le comment du pourquoi mange-t-on les animaux, surtout quand ils sont doux et mignons. Mais mon esprit, lui, a continué à vagabonder sur ce thème.

On dit souvent qu’acheter des produits locaux est un geste écologique parce que la nourriture voyage moins, mais ça l’est aussi parce que de connaître l’origine de ce qu’on mange nous incite à consommer autrement. Bien sûr, j’évite toujours de gaspiller la nourriture, mais j’ai trouvé que le fait d’avoir vu où mon lapin avait été élevé, de savoir qu’il avait été soigné et nourri par une amie, tout ça incitait à encore plus de respect. Si on en savait un peu plus sur la viande qu’on achète, si elle était un peu moins désincarnée, on en consommerait sûrement beaucoup moins, et quand on le fait, on la mangerait en sachant à quel point elle est précieuse…

L’esprit de ma grande aussi a dû vagabonder, car une fois à table, le déni a fait place à une déclaration unilatérale d’appréciation: «il est bon, le lapin des amis, maman!», répétait-elle en dégustant chaque bouchée… Elle n’a pas été dupe de ma diversion, on dirait!

Mais revenons-en à nos moutons. Ou à notre lapin. Il n’était pas question de perdre le plus petit morceau de viande — voir la recette ci-bas — et même ses os ont servi à faire le plus délicieux des bouillons! Merci d’ailleurs à Vincent le ri-canneux, chez qui j’ai abouti alors que je me demandais si du bouillon de lapin, ça se pouvait

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Gigot d’agneau caramélisé à l’érable

22 mars 2008 |

On pourrait croire à une cuisse de poulet… mais c’est que je suis mal arrivée à rendre en photo la dimension de cet énorme gigot raccourci. Alors oui, imaginez une cuisse de poulet, mais en version Pierrafeu!

Comme c’était la … Suite