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Banlieusardises

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Plats mijotés - 3/4 - Banlieusardises

Rôti de palette de veau aux pommes

6 novembre 2005 |

Je l’avais déclaré en tant que nouvelle maman allaitante une semaine après l’accouchement, et je le redis en tant que moins nouvelle maman, toujours allaitante et souvent haletante: la cocotte de terre cuite est une bien précieuse alliée à la cuisine!

roti_palette_veau_pommes.jpgPour ceux qui ne connaîtraient pas encore mon instrument de cuisine fétiche, il s’agit d’une cocotte Cordon Bleu (mais on trouve plus courrament les marques Shlemmertopf et les Römertopf) qui a la particularité d’être faite en terre cuite (voir photo par-là). Le fond de la partie du bas est vernissé, ce qui facilite le nettoyage (mais les cocottes Römertopf, dont le fond n’est pas vernissé, s’entretiennent très bien aussi). Pour l’utiliser, il faut immerger la cocotte dans de l’eau froide pendant une trentaine de minutes avant la cuisson, afin qu’elle se gorge d’eau. On pourrait y déposer la viande directement, mais je préfère pour ma part la faire dorer au préalable, ce qui la rend savoureuse. Puis, on place les aliments dans la cocotte, on la referme, on la place au four froid avant de l’allumer, et on laisse cuire longuement au four à feu doux. On n’a pas besoin d’ajouter de liquide, ou si peu, puisque l’eau contenue dans la terre cuite va être vaporisée à l’intérieur au fil de la cuisson, assurant une viande d’une tendreté incomparable, à tout coup!

Si la cuisson avec ce type de cocotte est longue, le temps de préparation est quant à lui réduit au minimum, ce qui permet de jouer au salon avec la petite, de faire une sieste, ou même d’aller prendre une bonne marche dans le quartier. Pendant ce temps, la cocotte travaille pour moi… et ça sent bon dans toute la maison!

Au menu hier soir: un rôti de palette de veau, que j’ai préparé avec des pommes, de l’ail, du romarin, des oignons, un peu de cidre et de la sauce soya. Temps de préparation: une dizaine de minutes, tout au plus, pour un pur délice d’automne!
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Rôti de palette de boeuf aux tomates italiennes

22 février 2005 |

Qu’y a-t-il de plus simple qu’un plat cuisiné à la cocotte de terre cuite? Il y a CE plat cuisiné à la cocotte de terre cuite!

Hier après-midi, en télétravail à la maison, j’avais envie de manger du bon pour le repas du soir, sans avoir le temps de cuisiner un menu élaboré. J’ai donc jeté dans ma cocotte de terre cuite un rôti de palette de bœuf, des oignons, de l’ail, des tomates et des fines herbes… et c’est tout!
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Soupe aux pois et aux légumes

31 août 2004 |

Mes envies de comfort food continuent de fluctuer en suivant une courbe inverse à celle de la météo: j’en veux quand il fait froid, et je retourne au pesto quand il fait chaud!

Hier, un bout de flanc de porc rencontré au supermarché m’a incitée à refaire la soupe aux pois de mon père… Cette version est pareille à la sienne à quelques détails près: j’ai légèrement varié les quantités et troqué l’eau pour le bouillon de poulet (pour une saveur plus intense). J’ai cuisiné le tout dans ma cocotte de terre cuite, et ça m’a semblé donner une bien meilleure texture à la soupe que lorsque j’utilisais ma marmite en acier inoxydable… imaginez le jour où j’aurais une véritable jarre de grès ;-)
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Poulet à la moutarde et à la bière en cocotte

21 août 2004 |

Est-ce bien une température de saison que nous avons ces jours-ci? Peu m’importe, au fond, qu’elle soit normale ou non: je la trouve trop frisquette. Moi qui attendait le mûrissement des tomates pour concocter de délicieux gazpachos, je me retrouve plutôt à les utiliser dans des plats longuement mijotés, ressortissant même le plat de terre cuite en plein mois d’août!

Ce fut une occasion d’utiliser quelques bons légumes du potager: une belle grosse botte de bette à carde, des tomates du jardin (deux noires de crimée et ma mystérieuse jaune côtelée), une gousse d’ail éléphant… miam! C’est donc bon de cuisiner avec des ingrédients aussi frais!
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Ragoût de veau au fenouil et à la bière

25 mai 2004 |

Appelez-la saison du pas-de-manche, du pas-de-dos, des orteils ou des mollets, comme vous voulez, mais de grâce, ramenez-la, cette saison douce et agréable qu’on appelle le printemps! Non, mais… c’est quoi ce temps frisquet, ce vent? Puisque c’est comme ça, je ressors mon plat de terre-cuite, moi, et je redonne dans la bouffe confort hivernale!

Y’a juste la nappe pleine de marguerites qui semble sortie de nulle part ;-)
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Cassoulet, confit, graisse et bouillon de canard

8 décembre 2003 |

«Si je vous montre cette image (dit le psy en brandissant une photo de canard), que voyez-vous?
– Une journée de travail, des cuisses confites, de la bonne graisse pour faire sauter mes patates, un bouillon divin et, bien sûr, un cassoulet.
– Enfermez-la!», de déclarer le psy, ajoutant d’un air gourmand: «… dans une cuisine!»

J’aurais pu simplement partager ici une nouvelle recette de cassoulet, avec quelques variantes (dans les ingrédients, mais surtout dans la manière de cuisiner le plat: j’ai utilisé cette fois mon diable de terre cuite, beaucoup plus proche de la traditionnelle «cassole» servant à cuisiner le cassoulet que mon habituelle grande casserole métallique). Mais ce serait négliger l’animal, dont il y a bien plus à tirer que de la bonne chair confite pour le cassoulet. Ne partons donc pas du plat, mais plutôt du canard: voici tout ce que j’en ai fait hier en préparant mon cassoulet.
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