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Banlieusardises

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Hors d’oeuvres - 4/9 - Banlieusardises

Hummus épicé (ou non), vite fait

4 mai 2008 |

L’hummus maison est si vite préparé qu’il n’y a absolument aucune raison de l’acheter tout fait. Bon, d’accord, il y en a une: ne pas avoir de robot culinaire. Bien sûr, on pourrait alors le faire au pilon, mais là, j’avoue que ce serait un tantinet plus fastidieux.

Pour le reste, «manquer de temps» n’est pas admis au nombre des excuses, car c’est aussi rapide de le préparer que d’ouvrir un emballage commercial. «Ne pas avoir les ingrédients sous la main» n’est pas non plus excusable: hormis les pois chiches, qui en sont la base, tout le reste de la recette peut très bien s’accommoder de variations au gré de ce qui traîne dans le frigo et sur les tablettes.

hummus-epice.jpg
En voici une version épicée que j’ai préparée hier soir. Même ma grande, qui n’est pourtant pas très fan des plats relevés y a trempé des bouts de baguette à répétition!
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Crevettes et tomates au piment d’Espelette

25 avril 2007 |

Exit les plats mijotés, voici une autre recette qui goûte l’été. C’est une petite entrée toute simple dont le seul secret est de réunir de savoureux ingrédients frais: une belle tomate, des crevettes de Sept-Îles, du jus de citron, une bonne huile d’olive et une pincée de piment d’Espelette.

crevettes_tomates_piment_espelette.jpg

Le plus long, c’est de décortiquer les crevettes. Surtout si votre grande fille de deux ans se découvre une passion dévorante pour les oeufs, et refuse que vous vous attaquiez à la prochaine petite bête rose tant qu’elle n’a pas systématiquement vidé les petites perles précieuses de la précédente!
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Canard-melon balsamique

12 janvier 2007 |

Le canard séché est un péché mignon hors de prix lorsqu’on l’achète déjà préparé: une vingt-trentaine de petites tranches déjà préparées coûtent environ le prix d’un magret complet. Mais c’est un luxe finalement pas si tant pire pour le budget lorsqu’on le prépare soi-même! On ne le dégustera toutefois pas sur un coup de tête, puisque les magrets doivent d’abord passer 36h dans un mélange sel/sucre, puis une dizaine de jours à sécher (étape que j’ai déjà voulu accélérer en usant de mon génie et de mon déshydrateur, mais ce n’était franchement pas aussi bon).

Tant qu’à avoir les mains dedans, je prépare systématiquement deux magrets plutôt que juste un. Une fois une quinzaine de jours passés depuis le début des opérations, il ne reste généralement plus rien.

Sauf pendant le temps des Fêtes. Est-ce la faute à tous les autres succulents restes qu’il y avait au frigo? On n’arrivait pas à finir un magret de canard séché. Alors plutôt que de simplement le servir tranché, il a fallu que je renouvelle la présentation pour convaincre ma maisonnée d’en venir à bout. Je me suis donc lancée dans cette variation sur le thème du proscuitto-cantaloup, devenu un canard-melon pour les besoins de la cause:

Canard melon balsamique

C’est aussi simple à préparer que ça en a l’air, une fois qu’on a préparé le canard séché (ou qu’on s’est ruiné à l’épicerie…)
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Pâté de foie à la mangue et au cari

11 décembre 2006 |

J’aime bien revisiter les classiques en essayant de nouveaux mariages de saveurs: de l’orange dans les cretons, du curcuma dans le ketchup vert…

… et la dernière petite folie en liste: de la mangue et du cari dans le pâté … Suite

Thon fumé et sa sauce de tomates fraîches, câpres et roquette

26 novembre 2006 |

D’appétissantes tranches de thon fumé achetées plus tôt cette semaine, un peu d’aneth restant du ceviche préparé il n’y a pas si longtemps, et le vague souvenir d’un antipasto cuisiné par mon beau-père au chalet il y a quelques années… Le résultat de tout ceci mis ensemble était parfait pour ravitailler ce midi la petite famille au retour d’une marche en forêt. Même je-suis-dans-ma-phase-du-non-et-je-n’aime-plus-rien en a redemandé, c’est tout dire!

Thon Fume Aux Tomates

J’ai présenté le thon et sa sauce dans de grandes assiettes, comme repas principal; on pourrait aussi le servir en guise d’antipasto, sur des croûtons de pain.
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Bruschetta

26 juin 2006 |

La bruschetta… on fait difficilement plus simple comme petite bouchée, et c’est pourtant divin! Ça se résume à peu de choses: des tomates, du pain, de l’ail, de l’huile d’olive et quelques fines herbes. Mais attention: comme pour tous les plats simples, c’est la qualité des ingrédients que réside le secret de la réussite!

Pour les tomates, aucune trouvée en épicerie ni au marché ne bat celles de mon potager… mais comme il n’y en aura pas avant le mois d’août ici, il a fallu me rabattre sur des tomates sur vigne. Le pain me vient du Petit Montmartre, à Rosemère, qui est décidément en train de devenir ma boulangerie officielle (et ceux qui me connaissent me savent très difficile en matière de pain, qui doit être croûté et doré à point, et avoir une mie qui a de l’air et de la personnalité… à bas les mies en éponges, moelleuses et uniformes!) Il faut de l’ail frais, des fines herbes du jardin, et une ou plusieurs bonnes huiles d’olive de première qualité.

Grâce aux recherches de Pascale (C’est moi qui l’ai fait!) sur le sujet, j’ai appris qu’à l’origine, la tartine appelée «bruschette» était simplement frottée à l’ail, et servait à déguster l’huile nouvelle… et on ne se plaindra pas qu’un dégustateur ait eu un jour l’idée sublime d’y ajouter des tomates! Il a d’ailleurs dû s’en faire lancer quelques unes par les traditionnalistes avant qu’ils osent à leur tour y succomber…

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Ma recette est sensiblement la même que celle publiée ici l’an dernier, mais la voici néanmoins…
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