Volailles
Du poulet, surtout, avec quelques incursions, quand le budget le permet, dans le merveilleux monde des canards, des faisans, des pintades, des cailles et autres volailles sauvages…
Poitrines de poulet farcies au jambon et au fromage gruyère
17 août 2008 | Martine GingrasIl y a un classique auquel je reviens souvent: les poitrines de poulet en sauce au poivre. Tantôt il est vert, tantôt il est rose (on parle du poivre, hein). Au-delà de cela, peu de variantes.
Ah, si, sauf celle-ci que je viens de retrouver dans mes archives et que j’avais oubliée: les médaillons de poulet coiffés de mozza et de capicollo. Eh bien imaginez à peu près la même recette, mais avec le jambon et le fromage à l’intérieur du poulet plutôt que dessus. Ça donne ceci:

Résolument de type «sauce», j’y ai versé mon classique aux baies roses. Mais le jambon et le fromage étant déjà très goûteux, on pourrait tout aussi bien s’en passer.
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Brochettes sucrées salées au poulet et aux deux poivrons
23 avril 2007 | Martine Gingras5… 4… 3… 2… 1… C’est parti! On a sorti le barbecue! Burgers mercredi, brochettes hier, et sûrement encore bien d’autres grillades au cours des prochains jours. Évidemment, on ne grillera pas à ce rythme infernal tout l’été, mais après … Suite
Vol-au-vent au poulet et olives… bis!
22 mars 2007 | Martine GingrasC’est dur, de se réinventer quotidiennement! Allons, allons, ne te mets pas tant de pression… qui te demande de te réinventer? Personne ne me le demande, en effet… mais quand on ouvre un blogue culinaire, il faut s’assumer, et pimenter sa cuisine de nouveauté, assaisonner chaque recette d’unicité si on veut la rendre publiable. À partir de ma énième recette de rôti de palette, vous allez bien finir par trouver que je me répète, non?
D’où mon silence. Ces jours-ci, je presse ma créativité culinaire comme un citron pour que les piges qu’on m’a commandées soient à la hauteur des attentes. Pour la cuisine au quotidien, je me suis retranchée dans mes classiques: le steak au poivre vert, les pâtes et les salades «extra tes restes», le gravelax, les burritos, les sautés asiatiques, les galettes de sarrasin au petit-déjeuner, le poulet grillé… rien de neuf sous le soleil, donc rien à publier!
Je pensais bien avoir enfin quelque chose pour vous avec ces vol-au-vent au poulet et olives…

Je voulais vous dire à quel point les olives salaient délicieusement le tout, ajoutant une touche unique et nouvelle pour moi… mais alors que je retroussais mes manches pour me mettre à la rédaction, le coeur joyeux, j’ai eu un doute.
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Canard-melon balsamique
12 janvier 2007 | Martine GingrasLe canard séché est un péché mignon hors de prix lorsqu’on l’achète déjà préparé: une vingt-trentaine de petites tranches déjà préparées coûtent environ le prix d’un magret complet. Mais c’est un luxe finalement pas si tant pire pour le budget lorsqu’on le prépare soi-même! On ne le dégustera toutefois pas sur un coup de tête, puisque les magrets doivent d’abord passer 36h dans un mélange sel/sucre, puis une dizaine de jours à sécher (étape que j’ai déjà voulu accélérer en usant de mon génie et de mon déshydrateur, mais ce n’était franchement pas aussi bon).
Tant qu’à avoir les mains dedans, je prépare systématiquement deux magrets plutôt que juste un. Une fois une quinzaine de jours passés depuis le début des opérations, il ne reste généralement plus rien.
Sauf pendant le temps des Fêtes. Est-ce la faute à tous les autres succulents restes qu’il y avait au frigo? On n’arrivait pas à finir un magret de canard séché. Alors plutôt que de simplement le servir tranché, il a fallu que je renouvelle la présentation pour convaincre ma maisonnée d’en venir à bout. Je me suis donc lancée dans cette variation sur le thème du proscuitto-cantaloup, devenu un canard-melon pour les besoins de la cause:
C’est aussi simple à préparer que ça en a l’air, une fois qu’on a préparé le canard séché (ou qu’on s’est ruiné à l’épicerie…)
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Pâté de foie à la mangue et au cari
11 décembre 2006 | Martine GingrasJ’aime bien revisiter les classiques en essayant de nouveaux mariages de saveurs: de l’orange dans les cretons, du curcuma dans le ketchup vert…
… et la dernière petite folie en liste: de la mangue et du cari dans le pâté … Suite
Sans titre de poulet, de bette à carde et de haricots noirs en sauce tomate
13 novembre 2006 | Martine GingrasLA question qui revient à chaque soir: qu’est-ce qu’on mange? Souvent, la réponse est simple: un ceviche, un rôti, une fondue… Mais il y a de ces soirs où on mélange les ingrédients au gré de son inspiration (et surtout, de ce qu’on ne veut pas perdre au frigo), concoctant un merveilleux n’importe quoi, un plat sans nom, qu’on ne peut définir qu’en énumérant les ingrédients qui le composent.

Généralement, je réfère à ces mélanges spontanés en parlant d’une «plottée», mais cette appellation n’a pas la cote auprès de mon doux, qui me suggère plutôt «fricassée». Mais quelques recherches faites ce matin m’ont menée chez le Chef Simon (tiens, long time no see!), qui définit la fricassée comme suit: « tous les produits détaillés, sautés ou raidis et cuits en sauce». Détaillés, comme dans «taillés en morceaux»? Hum, ne s’applique pas! Mon mélange est à base de poulet haché.

Ce que j’ai cuisiné hier ressemble aussi vaguement à mon chili con carne, mais déjà que j’ai eu de la difficulté à en justifier l’appellation, je n’ose imaginer ce que ça va être si je qualifie de «chili» cet étrange mélange à base de poulet haché et de bette à carde!
Allons-y donc pour un sans titre de poulet, de bette à carde et de haricots noirs en sauce tomate…
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